#4 : J'te le dis quand même.

15 avril, 22h03


Je m’y attendais : ce week-end a passé furieusement vite.


Vendredi soir, je quitte Epcot, au pas de course. Je rejoins le Mariott, Elodie me saute dessus et refuse de me lâcher pendant un bon quart d’heure. C’est à la fois énorme et perturbant de les avoir ici avec moi… On pique-nique dans la chambre, en regardant et racontant des conneries.

Samedi matin, très tôt : Animal Kingdom. Petit déjeuner à Vista (j’ai fait des muffins). Drew, qui nous a récupérés à l’hôtel, est un rien grincheux, mais semble enthousiaste à l’idée de faire les attractions à sensations avec Cédric. On arrive au parc, on s’enchaine Dinosaur, Bug’s life, Kali Rapids, Everest pour les garçons, le Safari et le musical de Nemo. Et une Turkey leg.





De là, on file à Hollywood Studios. American Idol, Great movie ride, La petite sirène, Indiana Jones show, Backlot tour… A la fin de l’attraction, je vois Cédric partir de son côté, dans la boutique souvenir. Je ne fais pas trop attention, pensant qu’il a trouvé une babiole à ramener chez eux. En fait, non, il est juste entrain de m’acheter une photo dédicacée qui coûte la peau du cul, pour me « remercier de mon accueil », non mais on aura tout vu… Je suis à la fois hyper touchée et hyper gênée.


On termine par Fantasmic, et on termine la soirée, brièvement, à l’Atlantic Dance Hall, parce que tout le monde a l’air crevé et que je suis la seule à avoir bu du RedBull.

Dimanche, minigolf, piscine, Golden Corral et Epcot. On reste sur le World showcase, et clou du spectacle, les Village People sont là aujourd’hui.





Lundi, deuxième partie d’Epcot : Spaceship Earth, Soarin, Nemo, Test Track. On refait vite-fait les pavillons pour grappiller des snacks, et on termine la journée devant un burger chez Dennys, à quelques miles de l’aéroport.



Je sais que je les reverrais vite, mon retour en France étant proche. Il n’empêche que c’était magique de pouvoir partager ces quelques heures avec eux, ce quotidien que j’ai la chance d’avoir ici mais qui perd de sa valeur parce que je n’ai pas avec moi les gens avec qui je voudrais pouvoir le partager… J’étais fière aussi de présenter à Drew ces amis si chers, de lui donner un aperçu de ce qui m’attend en France et de ce qui l’attend aussi s’il décide de me rendre visite plus tard cette année. 

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