8 mai, 13h11
Rupture. La
douzième.
Je crois que mon
lectorat se lasse de cette interminable boucle. De même pour moi. Je ne m’étendrais
pas sur les détails de ce dernier week-end, je ressasse suffisamment tout ça
dans ma tête, et c’est une des rares fois où j’estime qu’un peu d’auto-censure
ne serait pas si mal. Aussi parce que quelque part je n’assume pas que les
choses aient pu aller si loin.
Oui, j’y ai cru.
Oui, je suis triste. Oui, j’ai des sentiments à son égard.
Mais j’ai aussi
largement passé le stade de l’incompréhension concernant son comportement.
J’ai encore
quelques semaines à remplir de beaux souvenirs. Et si je déplore qu’il n’en
fasse plus partie, ça ne doit pas changer cette détermination. Je dois me
respecter, puisque lui ne semble pas appréhender cette notion.
Sans oublier qu’a
priori, d’autres garçons sont prêts, eux, à réaliser que je ne suis pas la
dernière des connes. Sans même le rechercher, j’ai des personnes qui se montrent
attentionnées à mon égard. Evidemment, ça reste flatteur.
Je vais suivre le
conseil que j’entends inlassablement depuis des semaines : Profites !
Edit – 16h20
Hier soir, il y
avait une grosse fête organisée par Disney pour les participants au programme.
Le parc aquatique Typhoon Lagoon était privatisé pour l’occasion, avec DJ,
buffet, animations par Jack Sparrow et ses copains pirates, et un inattendu feu
d’artifice.
Une soirée vraiment
sympa, et de quoi m’aérer l’esprit avec quelques-uns de mes nouveaux collègues.
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