#4 : Raise your glass if you are wrong

15 janvier, 19h36


Journée off. Avec beaucoup de skype. Ma mère, d’abord, puis Sandra. C’est revigorant. Et celui, bien plus long (3 heures) avec Cyril. De retour en Thaïlande après son périple néozélandais, il m’a envoyé un message si tôt qu’il a su. Il y a toujours ce quelque chose de spécial qui m’atteint via son regard et sa voix, mais cette fois c’était plus du l’ordre du réconfort, en particulier pour mon ego. Avec l’impression de me sentir en sécurité, dans un endroit familier. Pardon pour ma mièvrerie.

Le moment à retenir de cette discussion ?
Moi : Mais… C’est pas bientôt ton anniversaire ?
C : Techniquement… C’est aujourd’hui.

J’avais raison, c’était bientôt.


L’élément louche, en revanche, c’est le moment où j’apprends qu’il a égaré son disque dur externe. Ce même disque dur qui contenait bon nombre de photos de nous. De moi. Compromettantes. « Elles sont cryptées » me rassure t’il. Ah bah oui, y a pas de geeks à Bangkok, tiens…


J’ai passé un peu de temps à retravailler ma dernière chanson.

« I don’t care
I’m over your sweet love, I’ll survive
I don’t care
I don’t need your words to feel alive”.

Ou pas.

-          -     -


17 janvier, 8h26


J’ai tellement bu que ça n’a aucun sens, et j’ai tout juste 4 heures pour éliminer l’alcool de mon organisme. Oui, autant dire qu’on est mal barré.

C’était une bonne soirée, en fait. J’ai ri. M m’a fait rire. En plus de s’assurer que je finirai bien saine et sauve dans mon lit (certes à dire beaucoup de conneries).




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