#4 : what the name of the game ?

1er novembre, 11h03

Pensée pour ma mère, elle saura pourquoi. Je ressens à intervalles réguliers, un manque certain envers mon pays et ce qui s’y rapporte. Je ne peux pas vraiment dire que ça joue sur mon moral (qui honnêtement, est au beau fixe quasi en permanence depuis un mois), mais ça se rapproche d’un sentiment de nostalgie et d’envie de communiquer plus avec mes proches.


Journée légère au pavillon avec l’organisation d’un jeu, « ghost life » (le Killer, en fait, mais renommé pour que ça n’offusque personne). Rappel du concept, il suffit de faire dire un mot en particulier à sa cible pour remporter sa « vie ». Une bonne idée de Xavier et Stéphanie. Ca a permis de bons moments...

Luc : C’est quoi l’astre au milieu de la galaxie ?
Lily (jamais méfiante) : Bah, le soleil.


Ornella : Mais toi t’as trop une tête d’egg… Comment on dit « egg » en français déjà ?
Julien (pas méfiant non plus) : œuf !


Romain : Qu’est-ce qui peut être aux céréales, ou chocolat ?
Ornella : Dégage…


Nathalie (en fin de journée, sournoise) : Ah, je voulais aller louer le film à Vista, tu sais celui où y a les mecs en bleu…
Moi : Ah, Avatar ? parce que sinon je peux te recommander les Schtroumphs, ah ah ah, et euh, attends… c’était pour le jeu ?
Nathalie : Oui.


Hier soir alors que j’achevais ma prose, ma coloc se parait de sa tenue de chaperon rouge. Elle était ravissante, et j’ai apprécié l’ironie du moment où elle m’explique que son copain ( aka mec tordu de lundi) se déguise en loup… Je fais un saut à la médiathèque de Vista pour rapporter le dernier bouquin emprunté, et croise en route un faux Mickey, Pinocchio, et what the fuck, quatre prisonniers.


J’ai bien fait de ne pas festoyer, car même sans ça le réveil a été dur, et je n’attends qu’une chose, la fin de mon shift. J’ai faim, et Drew doit venir me chercher.


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