#4 : the seven things I hate about you

26 juin, 15h18


Lundi soir, avec Sandra et quelques uns de ses collègues de la bakery, nous partons prendre un verre au Fallafel Lounge, une sorte de club qui se situe à quelques mètres de la résidence. La musique y est franchement navrante (pire qu’au House of Blues), ce qui est cependant compensé par une déco sympathique. Je ne m’attarde pas, trop crevée.






Le réveil est un peu difficile, en ce jour de repos, mais je me motive : nous allons à Magic Kingdom ! On se rejoint au bus, Yann, Sandra et moi. On chope ensuite le monorail, dont on fera deux tours parce qu’on a manqué le bon arrêt. Ce qui est dans un sens n’est pas grave parce que la vue depuis ce train aérien est stupéfiante (en fait, le monorail fait le tour des trois hôtels les plus proches du parc pour récupérer les visiteurs, et le trajet contourne un immense lac, avec ces resorts plus somptueux les uns que les autres…).





Nous entrons un peu avant 11h dans le parc. Yann est tout de suite motivé pour filer à Frontierland et choper un fastpass pour le Splash Mountain, dont la cascade me rebute d’entrée. Je me laisse par contre convaincre de les suivre dans le fameux train de la mine, que je n’avais jamais osé faire avant… C’était plutôt cool, d’ailleurs, loin d’être si flippant que ça.



Pendant que mes comparses font l’attraction à cascade, je les attends à Adventurland, patiente un peu pour faire une photo avec Aladdin et Jasmine (Yann et Sandra me rejoignent juste à temps pour immortaliser cet instant ensemble !), et on file au Pirates des Caraïbes.



Le soleil cogne considérablement… Nous partons ensuite vers Fantasyland, prenons un fastpass pour l’attraction de la Petite Sirène, et patientons avec ce qui reste mon endroit préféré de ce parc, le Phillarmagic (film 3D incluant un écran géantissime, et quelques unes des chansons Disney les plus connues… et c’est trop cool). Le fond de Fantasyland vient juste d’être aménagé, avec les deux nouveaux manèges (Petite Sirène et Belle et la bête), et le prochain en construction (un train spécial « 7 nains »). Heureusement que nous avons pris le fastpass, puisque l’attraction d’Ariel affiche un joli « 80 minutes d’attente ». Sachant que le manège durera une bonne minute… Youpi.


De là, on rentre le plus vite possible pour rejoindre l’évènement de la journée : la Pool party de Vista Way, spéciale années 90. A l’entrée, sodas et chips à volonté. La piscine est bondée, la terrasse aussi, et la musique alterne du kitsch au très kitsch. Ambiance garantie. Et c’est un vrai soulagement de se mettre à l’eau avec la chaleur qu’il fait aujourd’hui…  L’animateur ponctuera la fête de challenges inattendus, comme un concours de hoolahoop, ou un remarquable « single ladies danse contest ».




Je rentre chez moi, heureuse de ma journée, mais encore une fois curieusement assaillie par la seule ombre au tableau. Il me manque.



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