Back to the Island 2019 : chapitre 1

L'arrivée au Melia Resort a quelque chose d'incongru, avec un mix d'émotions qui augmentent tout le long du trajet jusqu'au franchissement des barrières de sécurité du lieu : impatience, appréhension, suivies d'un soupir d'éblouissement face à la beauté et la taille du complexe hôtelier. 

Le luxe est omniprésent, avec ces multiples restaurants, les employés en uniforme qui fourmillent et sont aux petits soins, et cette piscine centrale face à l'océan.
Pas de chance, il pleut. Assez sérieusement même. 
Notre chambre sera prête à 15 heures, il ne nous reste qu'à tenter de nous occuper. Nous n'avons pas nos maillots de bain, et l'eau est de toute façon sacrément refroidie par la pluie.

Je croise Lewis Watson qui vient d'arriver et marche sur la plage, lui aussi dépité par l'absence de beau temps. 
Nous décidons de patienter dans le Resto de cuisine jamaïcaine, où un serveur adorable nous amène du poisson grillé et un sandwich de "jerk chicken", le plat le plus typique qui est terriblement épicé.

Une fois le check in réalisé, la découverte de notre chambre est assez euphorique : c'est immense, raffiné, et on a du mal à se dire que nous avons pourtant l'option la plus basique disponible dans le Resort.

La piscine n'est toujours pas disponible, mais un groupe de filles nous laisse de la place dans le jacuzzi qui s'y trouve. D'ici, le risque de choper un rhume à cause de la pluie torrentielle paraît vraiment secondaire...

Les heures filent, nous partons diner dans la steak house (Resto le plus élégant de l'hôtel avec des lustres, immenses miroirs, et sa cuisine haut de gamme.

Il est temps de rejoindre la scène, qui trône tout au fond de la plage. Des fans s'amassent déjà vers le proscenium, et nous patientons en sirotant un cocktail avec trois australiennes.
Au moment où je me décide à faire un aller/retour au bar, le groupe choisit de faire les balances du concert. 
Les voir et les entendre au loin, dans ce cadre, c'était... Indescriptible.

Le concert du soir, "Rock all night", propose une setlist dynamique, quoi qu'un peu classique. Zac semble d'humeur à charrier le reste du groupe, Ike nous sort ses plus belles grimaces et énergies pour ses solos, et Taylor arbore son look hipster et un sourire rayonnant tout au long de la soirée.

Je quitte cette plage en ma rappelant que tout va assez très vite et que je ne peux que profiter de chaque seconde.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire