#4 : Moi je m'en moque, j'envoie valser...

12 août, 9h18


Week-end un peu pessimiste. Je me sens si fatiguée que, samedi, je demande à partir plus tôt pour la première fois.

J’entends encore trop d’échos négatifs et improbables au sujet de ce blog… Encore une fois, si ça ne vous plait pas, ne cliquez pas. Je parle notamment à ceux qui font la démarche de me lire alors qu’ils ne font pas partie de mon groupe d’amis… Une petite précision, ici : je trouve qu’il y a une grosse différence entre le fait de dire du mal d’une personne, et de simplement avouer qu’à un instant donné j’ai trouvé son comportement douteux. Quand j’écris, j’essaye de ne jamais être blessante ou insultante envers quiconque. A bon entendeur…


Justement, en parlant de comportement douteux… Je sais que travailler à Disney ne signifie pas réellement que nous sommes tous une grande famille recouverte de paillettes et de chamallows. Mais je ne m’habitue pas à ce que je ne peux pas qualifier autrement que de la méchanceté. Certes, je suis touchée quand c’est à mon encontre, mais je le suis plus encore quand cela concerne les personnes à qui je tiens. On ne peut pas aimer tout le monde, c’est un fait. Mais pourquoi se foutre ouvertement de la gueule de ceux qu’on apprécie moins ? On en vient à des moqueries qui dépassent l’entendement, sur une manière de parler, sur des choix de vie, ou pire, sur un zèle particulier au travail. MERDE, qu’est-ce que ça peut vous foutre ?... Le côté communautaire n’arrange rien, parce que c’est plus facile de choisir de rire en groupe d’un individu isolé.

Un jour, la poétesse Mylène Farmer a dit "Fuck them all". Gloire à elle.


Sur ce : pensées optimistes. Le négativisme ambiant accentue l’importance des personnes positives. Il y en a beaucoup, heureusement. Et cela décuple aussi le manque des personnes qui comptent à des milliers de kilomètres de là : ceux qui réussissent leur permis, qui achètent leur première voiture, ou qui épousent l’homme de leur vie, sans que je ne puisse être là pour les féliciter de vive voix. I miss you all, everyday.


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