23 septembre, 17h24
Quelqu’un sait
comment ce mois a filé aussi vite ? J’hallucine.
Alors qu’il pleut
des trombes dehors, et que je m’interroge sur la langue française (pourquoi on
met une apostrophe dans « j’hallucine » alors qu’il y a un « h » ?),
je me détends en ce jour de repos où je n’ai strictement rien foutu. Autant me poser
un peu, vu que je m’apprête à enchainer 10 jours consécutifs à partir de
demain. Incluant le début du « Food and Wine Festival ». Bref.
Cette semaine a été
marquée par une très courte session de Wine Tasting (Rosé d’Anjou, Pouilly
Fuissé et Côtes du Rhône). Si vous vous demandez ce que ça donne, version
Disney, c’est très simple. La dose infime servie doit être recrachée aussitôt.
Je vais aussi cesser mes jérémiades et admettre que de toute façon, je ne suis
pas grande amatrice de vin.
Vendredi, Lily et
moi avons décidé de nous accorder un petit plaisir en déjeunant au Polynesian
Resort. C’était un peu cher (mais on a des réducs) et proprement délicieux (j’ai
pris deux desserts, une panacotta chocolat/café/pécan, et une crème brûlée
banane chocolat).
Au passage, nous
visitons Cast Connection, le magasin réservé aux employés. On trouve un peu de
tout, là-dedans, des cadeaux, mais aussi des fruits pas chers.
Hier, j’ai eu un
élan de « tiens, si je faisais quelque chose de bien pour changer ».
Lily doit avoir une bonne influence sur moi, et je la suis, un peu inquiète, au
Village « Give Kids the World ». Il s’agit d’une sorte de club de
vacances pour des enfants malades et leurs familles. Tous les dimanches, le
centre organise une fête appelée Candyland, où les cast members peuvent faire
du bénévolat. Voilà comment j’ai passé une partie de la soirée a préparé gaiement
des barbes à papa. C’était cool. Tant la machine que les réactions suscitées. J’appréhendais
un peu de ne pas savoir gérer les échanges, mais ces familles étaient
souriantes et heureuses, plus encore que ceux que nous accueillons chaque jour à
Epcot.
Le reste des jours
se ressemblent : ma frivolité sentimentale (cette semaine, P l’emporte sur
B en démontrant un peu plus d’attentions que d’habitude), la vie dans la
collocation (les canadiennes ont un peur bleue des cafards. Le genre de peur
qui les fait fuir en poussant des cris de vierges effarouchées), et les débats
sur les fesses de Miley Cyrus.
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